Lorsque le Bronco de 1987 a fait son entrée dans notre atelier, l’ampleur des dégâts causés par la rouille était évidente. La carrosserie semblait relativement intacte à première vue, mais dès qu’on a commencé à soulever les parties du châssis, il était clair que la rouille s’était infiltrée partout.
Le châssis, les longerons, et même certaines parties du compartiment moteur étaient gravement corrodés. Cette rouille, si elle n’était pas traitée, risquait de compromettre toute la structure du véhicule. Un gros chantier s’annonçait, mais la restauration du Bronco serait une aventure passionnante.
L’objectif était de redonner à ce véhicule emblématique sa jeunesse et sa robustesse, tout en modernisant certains éléments pour améliorer sa performance.
